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Cet ouvrage retrace l'évolution particulière de la commune de Trémargat, en Centre-Bretagne, et les évènements qui l'ont conduit à une telle ascension et médiatisation.
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Date de disponibilité:
Auteur / artiste | |
Éditeur | Coop Breizh |
Nb de pages | 144 |
Dimensions | 19 x 25 cm |
Parution | 2016-10-15 |
EAN | 9782843468070 |
Trémargat, en Centre-Bretagne, et ses 200 habitants sont l'objet d'une attention médiatique sans commune mesure pour une commune d'une telle importance. France-Inter, France-Culture, Rue89, Le Télégramme, etc. se sont tour à tour penchés sur le renversement inattendu de sa courbe démographique, le dynamisme de ses activités culturelles, le modèle économique orienté vers le bio et les circuits courts, son fonctionnement basé sur la participation active d'une majorité des habitants et son vote écologiste.
Le livre Trémargat, en vies entre dans le détail de cette originalité et cherche à l'expliquer. Il commence par revenir sur la trajectoire d'une expérience particulière, celle d'une exploitation laitière devenue ferme pédagogique, accueillant depuis plus de vingt-cinq ans des enfants et des adultes pour vivre la liaison entre l'utilisation du milieu naturel et sa préservation. Mobilisant des données historiques, sociologiques, politiques, culturelles, agricoles, géologiques à propos de la région de Trémargat, le Kreiz-Breizh, le livre étend le regard pour analyser comment l'évolution particulière de la commune tient à un environnement et à une combinaison de facteurs.
Dirigé à trois (Denis, Fañch et Josiane Ruellan), le livre fait appel à des contributeurs fins connaisseurs de la région : le géographe et historien Jean-Jacques Monnier, le journaliste et sociologue Yvon Rochard, la photographe Isabelle Vaillant, le dessinateur Alain Goutal, le peintre Fanch Videment. Il associe textes et images, varie les regards et les niveaux d'écriture, rassemble des informations inédites, dans une présentation originales de type mook, à la croisée du livre et du journal, mise en page par Yann Le Sager.
Le 16 mars 1978, l'Amoco Cadiz, drossé sur les récifs de Portsall, vomissait 230 000 tonnes de pétrole brut et provoquait la plus grande catastrophe écologique du XXeme siècle. 40 ans plus tard, retour sur la scène du crime, rencontre avec les témoins de l'époque et par trente mètres de fond, visite à l'assassin. Que reste-t-il de l'Amoco Cadiz ?
Parce que « l'eau est le sang de la planète » et parce qu'il y a urgence, le capitaine Paul Watson signe un nouveau manifeste coup de poing pour la sauvegarde des océans.
Dans cet ouvrage présenté sous forme d'interviews où André Ollivro et Yves-Marie Le Lay répondent à des questions que se posent tous les amoureux de la Bretagne, il est avant tout question du scandale sanitaire provoqué par le phénomène des marées vertes.
Les prémices de la crise actuelle sont apparues il y a une quinzaine d'années : la crise climatique et ses conséquences à venir étaient établis ; la dérégulation de nos économies, générée par la mondialisation, était aussi à l’œuvre ; la crise de 2008 n’a fait qu’exacerber ses effets.
Le 16 mars 1978, l'Amoco Cadiz se déchire sur les hauts-fonds rocheux, devant Ploudalmézeau. Plus de 200 000 tonnes de pétrole, engluent le littoral, du Conquet jusqu'à l'île de Bréhat. Quatorze ans plus tard, les 90 communes victimes de la marée noire du siècle gagnent, à Chicago, le combat juridique à hauts risques qu'elles ont engagé contre la...
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Ces femmes de pêcheurs du bout du Finistère avaient participé, voire mené la lutte contre l'implantation d'une centrale nucléaire à la Pointe du Raz, fin des années 70.Ce livre rapporte les propos de ces femmes.
Ce livre synthétique et très illustré, notamment avec une dizaine de cartes inédites, permet une approche didactique de l'histoire de l'écologie en Bretagne, de l'agriculture biologique à l'éolien citoyen.
François de Beaulieu évoque les races emblématiques qui accompagnent les Bretons dans leur quotidien et leur travail.