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Lyon, nuit du 24 mai 1968. Un camion de chantier s'écrase contre un lampadaire. René Laroix meurt écrasé, il s'agit du seul mort présumé de mai 68, côté police.
L'auteur nous livre un tableau singulier et parfois insolite de son mai 68 à Lyon. Religion, politique, art, médias... De la fac à la rue, du couvent au prétoire, l'auteur s'implique dans cette tranche d'histoire mouvementée.
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Date de disponibilité:
Auteur / artiste | |
Éditeur | Montagnes Noires Editions |
Nb de pages | 160 |
Dimensions | 11,50 x 17,50 cm |
Parution | 2018-05-25 |
EAN | 9791097073282 |
Lyon, nuit du 24 mai 1968. Sur le pont Lafayette, enjambant le Rhône, un camion de chantier, accélérateur coincé par un gros caillou, est lancé par les manifestants en direction des CRS.
L'engin s'écrase en bout de course contre un lampadaire. Le préfet annonce aussitôt qu'un commissaire de police, René Lacroix, est mort, écrasé par ce camion fou.
L'affaire, après l'intervention du préfet, puis celle de Georges Pompidou, prend aussitôt un tour politique. Il s'agit du seul mort présumé de mai 68, côté police.
Cette nuit là, l'auteur se trouvait sur les lieux. Il a aussi assisté, deux ans plus tard, au procès de Michel Raton, un "trimard" accusé d'être l'instigateur principal de cet acte violent.
Des années plus tard, il a enquêté auprès des témoins, compulsé les archives de police et celles du procès, supputant les différentes hypothèses, dont celle, rocambolesque, d'une substitution de corps à la morgue.
Jeanne-Marie, Marie-Louise mais aussi Guillaume, Pierre-Marie et bien d'autres ont été victimes d'un attentat sexuel en Bretagne dans le courant du XIXème siècle. Cet ouvrage relate leur histoire, à travers trente-six affaires qui ont fait l'objet d'un procès en cour d'assises.
À partir de deux enquêtes ethnographiques menées au sein d'une organisation nationale de chômeurs (AC !) et de deux mobilisations de chômeurs en Bretagne (Morlaix et Rennes), cet ouvrage revient sur des luttes souvent qualifiées d'improbables et cherche à les sortir de cette catégorisation.
Au fil d'une histoire mouvementée, la Bretagne a conservé, liée à sa forte identité, une singularité qui en fait une région à part parmi les régions françaises. Même devenue française, elle ne se fond jamais totalement dans les institutions du royaume.
en Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles L'auteur raconte une vingtaine d'affaires criminelles, souvent insolites, n'hésitant pas à rentrer avec humour dans la vie d'un commissaire de police sous le Second Empire ou à suivre des gendarmes, proches de la population et particulièrement actifs lors de crimes sordides.
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Annick Le Douget vous guide dans les méandres des affaires de justice en Bretagne de 1800 à nos jours.
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