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L'auteur ne nous raconte pas seulement ses "années collèges" mais il décrit, dans une analyse très fine, la transformation de la société bretonne après la guerre.
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Auteur / artiste | |
Éditeur | Yoran Embanner |
EAN | 9782916579832 |
L'auteur ne nous raconte pas seulement ses "années collèges" mais il décrit, dans une analyse très fine, la transformation de la société bretonne après la guerre.
Le jeune Fanch est un collégien studieux mais aussi facétieux malgré la déchirure d'avoir quitté sa mère, ses copains, la vie libre et sauvage dans la campagne forestoise.
Il découvre le quotidien de pensionnaire dans un collège où règne une discipline parfois rude. Il rencontre d'autres élèves venus des communes avoisinantes (Névez, Trégunc, Pont-Aven...).
Au fil des années, il s'enhardit dans la ville et ses plaisirs, intègre l'équipe de foot de Lanriec...
Il nous décrit l'ambiance particulière avec, en arrière-plan, le basculement d'une société rurale bretonne qui regarde de plus en plus vers les lumières de la ville.
À chaque retour à La Forêt-Fouesnant, il constate que le monde de son enfance se transforme à grande vitesse : l'arrivée des touristes et des tracteurs, l'abandon zélé de tout ce qui était breton : la langue, le costume, le mobilier... On se devait d'être aussi moderne que le Parisien.
Le tome 1 : Oh le sale petit Breton !
Après Les marées du Faou, publié en 2003 chez Gallimard, Les grandes marées du Faou reviennent sur le lieu fondateur; sur l’enfance et l’adolescence formatrices nourries de l’affection de ses parents et grands-parents dans une Bretagne catholique et rurale que la «modernité» engloutit...
Raymond Jean Jacq nous fait revivre, avec beaucoup d'humour et de tendresse, la vie difficile de ses parents, originaires de Landudal émigrés aux États-Unis dans les années 1930.
L'ouvrage de Désiré Camus, responsable du maquis de Squiffiec est davantage qu'un récit supplémentaire de l'épopée de la Résistance en Bretagne pendant la guerre 39-45.Les combats de la Résistance ne furent ni une guerre en dentelles, ni des exploits à la James Bond. Ce récit vrai remet les choses en place.
Jean Hourmant raconte avec sa fougue habituelle les combats de sa vie, particulièrement ceux pour vivre et travailler dans son pays, le Kreiz Breizh.
Tri Yann, groupe « mythique » incontournable qui a enchanté la Bretagne et de plus lointaines contrées depuis 50 années ! On y découvre les ficelles et les ingrédients qui forgent un pareil destin.
Jacques Serba nous livre quelques tableaux sur l'ex-Yougoslavie, le Liberia, le Laos, l'Afghanistan, tableaux qui illustrent le parcours singulier d'un citoyen engagé bénévolement dans l'action humanitaire.
Jusqu'à sa mort en 1912, Etienne Chancerelle a relaté toutes ses chasses, analysant avec précision le travail de chacun et de ses chiens courants, dans un style qui ravira les amateurs de vénerie.
Ange Leindour vous confie le secret des sources de haute colline.De rencontres insolites en émotions partagées, les échanges intergénérationnels témoignent d'un univers aux codes sociaux qui s'entrechoquent.
Mémoire d'une Bretonne dans l'enfer concentrationnaire Nazi C'est à l'occasion de sa rencontre en 1970 avec Roger Huguen qu'Henriette Le Belzic lui remet ce qu'elle nomme "ses Mémoires". Il s'agit d'un recueil de 29 pages dactylographiées, dans lesquelles elle relate sa période de captivité depuis son arrestation le 10 novembre 1941 jusqu'à sa libération...
Dans ce livre, inspiré de son histoire familiale, l'auteur évoque la vie quotidienne d'une de ces petites communautés, dans le quartier de Méan, sur la rive du Brivet.
De son premier concert en 1976, jusqu’à la mort du Boss, Erwan a écumé les stades, les salles de concerts et les festivals en France et jusqu’aux USA. Johnny Hallyday était pour lui son baromètre et sa musique son moyen d’évasion. Dans cet ouvrage, Erwan se livre sans concession mais avec pudeur et franchise. Ses mots sont cash, vrais, touchants, rieurs...
Qu'est devenue Soizic Corne... Cette jolie rousse que j'ai vénérée durant mon enfance en regardant "les Visiteurs du mercredi" ? La réponse à cette question posée par Aymeric caron à Patrick Sabatier sur le plateau de l'émission "On n'est pas couché" vient de se fracasser sur l'écran de Soizic : Elle apprend sa mort en direct ! Ce soir-là, ça tombait mal.
Passionné de sport dès son plus jeune âge, Jean Huitorel,nous livre une foule de souvenirs sur sa scolarité au lycée de Brest, ses courses de pardons, son engagement dans la 1ère Division française libre, sur sa carrière d'entraîneur et d'éducateur sportif.
Nous partons avec ce livre sur la route des vents solaires, dans ce Pays bigouden, lieu de naissance de l’auteur. Celui-ci emprunte, dans cet ouvrage, la transbigoudène, au volant de sa voiture, il se souvient alors de cette contrée de l’enfance où demeure le souvenir d’un père trop tôt disparu, où, font irruptions tant de compagnons d’esprit.
Théo David évoque son enfance rurale à Saint-Servais en centre Bretagne, avant la Seconde Guerre mondiale.
L'épopée d'une famille de marins de Plouha à l'époque des terre-neuvas, sur trois générations.
« Chant de vision », est le portrait écrit du chanteur breton Yann-Fañch Kemener, enrichi de photographies inédites.Considéré comme la « voix d’or de Bretagne », l’artiste se révèle au public par la co-écriture de ce livre.
René Guyomard nous raconte sa guerre, celle qu'il a vécue, qu'il a vue, observée. Décalé parfois, sensible souvent, ce récit offre un regard différent sur les hommes, les évènements d'une période extra ordinaire.
Voici un livre de témoignages qui restitue tout un pan de l'histoire de la région au début du XXe siècle à travers le regard de femmes nées dans les années 1900.
"Carhaix, c'est Plogoff !"L'histoire de la résistance contre la fermeture de l'hopital de Carhaix.
Dans les conditions qui l’ont vu naître en 1849 à Plougonver/La ChapelleNeuve (Côtes d’Armor), Julien Godest n’aurait pas dû vivre l’expérience de l’écriture. Paysan pauvre et analphabète jusqu’à jeune adulte, cet homme est toutefois animé d’une telle volonté de défense de la foi catholique, qu’il consacre des soirées à apprendre à écrire pour pouvoir...
"Moi, sans pays..., j'ai trouvé une terre et des liens profonds. Je sais ce qui est derrière moi. Je n'ai pas la moindre idée de ce qui est devant moi. Mais, j'ai confiance."
En 1924, Louis Roubaud, journaliste au Quotidien, est chargé par sa rédaction, à la demande de l'administration pénitentiaire, de faire une enquête sur les colonies de jeunes garçons et filles afin de changer l'image déplorable que ces établissements ont dans l'opinion publique.
Se laisser bercer aux accents du breton, fleurant bon le terroir. Un rêve ! Se prendre au jeu de son équivalent français radiophonique. Une ambition ! S'abandonner aux histoires contées du quotidien, une aspiration ! Michel Priziac, passeur de mémoire et observateur attentif de son époque, aime porte des coups d'œil sur des moments ou des situations...
Non contents d’aimer leur ville telle qu’elle est, les Brestois sont étreints par un sentiment plus extravagant encore: ça commence à les démanger de la faire aimer, de reconnaître publiquement qu’elle est aimable. Ce ne sont pas des mots qui montent aux lèvres comme la stout tirée en trois fois, au Tara Inn, coule dans l’autre sens....
1944. En quelques mois, de férier à la fin août, la Bretagne bascule dans les combats de la Libération. Les personnages sont ballotés entre drames et espoir à un moment où la Wehrmacht, craignant le Débarquement, est aux abois. Ce troisième volume nous plonge dans la vie des mouvements de Résistance de la région de Saint-Servais, de Guingamp et Rennes.
Les Ombres du Porhoët propose une anthologie de la littérature française à travers la généalogie d'une famille bretonne. Cette symphonie de portraits de laboureurs, de bûcherons, de meuniers, de filandières... donne à entendre la musique de la langue que parlaient ces voisins de la forêt de Lanouée entre les années 1500 et 2000.
L'itinéraire singulier d'un p'tit gars d'Arras émerveillé par ses vacances en Bretagne et qui, à 12 ans, décide : "Quand j's'rai grand, j's'rai Breton".Tellement Breton qu'il s'engagera dans le FLB...
Brest toujours, ou plus exactement Brest la permanence. Brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. Ou alors pour un individu comme Louis Gildas, c'est plus compliqué. D'abord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville cultivant l'oxymore. Des souvenirs d'une ville éborgnée,...
La guerre vue par les yeux d'une petite fille des Monts d'Arrée.Un témoignage attachant.