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Un livre-objet de luxe à petit prix sur un papier de création au format original.
Un texte en forme de pas de côté de la part d'un grand écrivain.
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Date de disponibilité:
Auteur / artiste | |
Éditeur | Dialogues |
Nb de pages | 80 |
Dimensions | 16 x 16 cm |
Parution | 2016-03-10 |
EAN | 9782369450528 |
"Dans la cartographie de mes songes et de mes déambulations électives, le nom de Brest claque comme celui d'une sentinelle granitique et océane, corrodée par le sel, envahie d'oiseaux marins qui déferlent dès que menace la tempête.
C'est une ville dure, une ville d'initiation et d'épreuves, qu'on ne traverse pas impunément.
On peut l'atteindre après avoir goûté les mirages de l'Elorn, de ses eaux hautes et miroitantes qui bordent la voie ferrée, les sortilèges de la rivière marine au nom tout droit sorti de la galaxie des romans bretons, l'uniformité gris, les quadrilatères de béton, la reconstruction au cordeau de l'après-guerre vous heurtent vite, le vent dans les rues, cette impression constante d'une ville dépecée par le souffle du large."
Ces écrits de Bretagne, rassemblés en Miscellanées, textes divers sans relation forcément directe entre eux, évoquent en grande partie le Finistère Sud, ses paysages, ses variations de lumière, ses senteurs, ses gens de la terre, de la mer...
Ce livre est une promenade en Bretagne, des années 1950 aux années 2020. Cette Bretagne porte en elle toutes les rides de toutes les terres, tous les accents de toutes les langues, toutes les lueurs de tous les sourires humains.
Cent clés pour mieux comprendre la Bretagne L'objet de cet ouvrage est une approche de la culture bretonne pour le grand public à travers cent articles avec, notamment, des éclairages sur la langue en vue de répondre à la curiosité du lecteur. Elle est abordée avec compétence et pédagogie, voire avec style et humour, ce qui en fait un livre à la fois...
Dans un texte aux accents poétiques, d'une précision exquise, d'un humour charmant, Gilles Martin-Chauffer nous convie à la découverte de sa mer de famille.
Dans ce livre, vous trouverez une vingtaine d'oraisons funèbres. Quelques épitaphes, des conseils avisés et quelques prouesses verbales afin d'offrir le livre qu'il manque àchacun : les oraisons funèbres pour les nuls.
Ce livre s'intéresse au caractère et à la personnalité de certains "petits paysages" de Bretagne occidentale, et considère ce qui le rend singuliers par rapport à ce qui les entoure.
Non contents d’aimer leur ville telle qu’elle est, les Brestois sont étreints par un sentiment plus extravagant encore: ça commence à les démanger de la faire aimer, de reconnaître publiquement qu’elle est aimable. Ce ne sont pas des mots qui montent aux lèvres comme la stout tirée en trois fois, au Tara Inn, coule dans l’autre sens....
Sous les traits d'un voyageur de fiction, une trentaine d’auteur(e)s, membres de l’AEB, ont prêté leur plume exercée à un Tro Breizh inédit. Tel un journal de bord et suivant un itinéraire qui rayonne sur les 5 départements bretons, chaque écrivain a ouvert les portes de son territoire pour une journée.
Cʼest un monde plein de tendresse que celui dʼun Ehpad où sʼinterrogent les mémoires, souvent confuses, parfois naufragées, qui, hier encore, étaient celles de femmes fées, de naïades, dʼhommes rois, de seigneurs des elfes, que les personnels soignants, les animateurs, les bénévoles, qui désormais les accompagnent au quotidien, nʼont de cesse dʼassister,...
Chacune de ces saynètes s’amuse des codes du théâtre et joue des mécanismes qui lui sont propres : s’imaginer un décor sur un plateau vide, mourir sur scène, ressusciter, inventer tel accessoire quand la situation le demande, jouer de l’invisible, prendre le public à partie, ne pas voir plus loin que le quatrième mur...
Fabien Ribéry est à l'initiative de ce projet. Après Brest, c'est Byzance, qui réunissait 5 photographes autour de la ville de Brest, Fabien Ribéry a souhaité prolonger le plaisir, en demandant à des écrivains de se prêter au jeu.
La Rance et l'auteur entretiennent une liaison depuis l'enfance. Descendre le fleuve côtier des collines du Mené jusqu'à la tombe de Chateaubriand, plutôt que de le remonter, dévoile une conception de la vie.
Un livre-objet de luxe à petit prix sur un papier de création au format original. Un cadeau pour des lecteurs raffinés.
Les Ombres du Porhoët propose une anthologie de la littérature française à travers la généalogie d'une famille bretonne. Cette symphonie de portraits de laboureurs, de bûcherons, de meuniers, de filandières... donne à entendre la musique de la langue que parlaient ces voisins de la forêt de Lanouée entre les années 1500 et 2000.
Un livre-objet de luxe à petit prix sur un papier de création au format original. Un texte, comme un pas de côté de la part d'un écrivain.
Matthieu Dorval est un artiste qui vit sur les rives de la baie de Douarnenez à la pointe de la Bretagne, là où les vagues explosent et les tempêtes mugissent. Un beau matin de fin d’été, il a pris son sac de pérégrin et s’en est allé loin, bien loin. À pied par les sentiers. Il a pris ses pinceaux et pour la première fois la plume. Il s’agissait bien de...
Des fragments, impressions et sensations maritimes issues du vécu de l’auteur et de ses voyages. Ces fragments en prose forment finalement un journal de bord. Illustré par Charlotte Le Saux
Avec ces fragments de vie constitués en Miscellanées (mélanges de textes), Claude Couderc poursuit après «Petits bonheurs bretons », «Écrits de Bretagne» ses observations, en forme de croquis, autour du Finistère, entrecoupées de réflexions, d'émotions, d'humeurs sur tout ce qui nous entoure.
Plébiscité par le public et la critique, ce dictionnaire original revient dans une édition augmentée, riche de près de deux millions d'entrées. Un livre enrichissant et amusant pour tous les amoureux des mots.
Une dame pimpante et respectable entre en scène et s'apprête à disserter sur l'un des auteurs classiques du XVIIème siècle les plus populaires et les plus importants que la France ait vu naître : Jean-Baptiste Poquelin dit Molière !
Non, Xavier Grall ne sera pas oublié. Il était devenu, au fil de ses écrits, la conscience enflammée d'une Bretagne qu'il portait dans son cœur comme une espérance ardente. Philippe Mouazan nous invite à cheminer avec cet authentique poète qui brûlait pour les autres contre l'ennui et la bêtise, la frime et le dérisoire. LA RAGE ET LA TENDRESSE, suivi de...
Cette œuvre se compose de trois parties distinctes, mais qui finissent par faire un tout, poétique et cohérent, présentant l'ensemble de nos recherches et de nos travaux ouessantins, notre évolution commune, tant sur le plan de l'écriture que sur l'union avec l'île.
À l'heure des mails et des réseaux sociaux, on oublierait presque que de grandes amitiés se sont nouées par écrit.Anjela Duval et Gérard Le Gouic ont ainsi échangé lettres et cartes postales entre 1973 et 1980.
Une anthologie littéraire pour évoquer la pluie, les pluies. Imprécis de la pluie, pour entrevoir cette figure mouvante que chaque créateur approche dans l'émerveillement du fugitif et de l'éphémère.
Se laisser bercer aux accents du breton, fleurant bon le terroir. Un rêve ! Se prendre au jeu de son équivalent français radiophonique. Une ambition ! S'abandonner aux histoires contées du quotidien, une aspiration ! Michel Priziac, passeur de mémoire et observateur attentif de son époque, aime porte des coups d'œil sur des moments ou des situations...
Cet ouvrage, outre de donner des renseignements inédits sur l'auteur et son oeuvre, analyse chacune des éditions et leurs illustrations.
Voici une aimable promenade parmi tous les proverbes bretons, classés ici par thèmes.Le proverbe en breton est accompagné de sa traduction en français.
Louis Bertholom publie ici son livre le plus émouvant. « La mort est l’évènement le plus incroyable de la vie », mais aussi le passage le plus marquant pour lequel la cérémonie d’adieu est un rituel nécessaire afin de pouvoir faire son deuil.
Il faisait le même temps lorsque j'ai vu Armen pour la première fois. La mer était grise, comme toujours lorsqu'on navigue sur un bateau de guerre. J'ai cru reconnaître cet endroit. J'ai souhaité vivre dans ce phare. C'était la meilleure façon pour ne plus le voir. Quand j'ai posé le pied, la première fois, sur ce débarcadère-jouet, je me suis cru chez moi.
les lecteurs d'Armen, Du Guet, de Fort-Cigogne ne s'étonneront pas de retrouver ici l'attention fervente portée au paysage, la présence constante de la mer et des rythmes qu'elle impose qui sont la marque de Jean-Pierre Abraham. Mais ils s'étonneront peut-être d'apprendre qu'il a écrit Le Vent en 1955 : il avait dix-neuf ans.