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Dans les conditions qui l’ont vu naître en 1849 à Plougonver/La ChapelleNeuve (Côtes d’Armor), Julien Godest n’aurait pas dû vivre l’expérience de l’écriture. Paysan pauvre et analphabète jusqu’à jeune adulte, cet homme est toutefois animé d’une telle volonté de défense de la foi catholique, qu’il consacre des soirées à apprendre à écrire pour pouvoir rédiger en breton, à partir de 1905...
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Date de disponibilité:
Auteur / artiste | |
Éditeur | Centre De Recherche Bretonne Et Celtique |
Présentation | Broché |
Nb de pages | 760 |
Dimensions | 15 x 23 cm |
Parution | 2020-09 |
EAN | 9791092331486 |
Paysan pauvre et analphabète jusqu’à jeune adulte, cet homme est toutefois animé d’une telle volonté de défense de la foi catholique, qu’il consacre des soirées à apprendre à écrire pour pouvoir rédiger en breton, à partir de 1905, des souvenirs qui lui servent à exprimer son combat.
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Le présent ouvrage offre une transcription, une traduction et une présentation de ce texte intitulé Envorennou ar barz Juluen Godest, établi à partir du long manuscrit de près de 350 pages conservé aux Archives Départementales du Finistère. Dans sa présentation, Nelly Blanchard invite le lecteur à y voir le témoignage rare d’une vision du monde disparue ailleurs depuis longtemps, une « butte témoin » extra-ordinaire dans la mesure où l’accès à la culture des classes subalternes se heurte très souvent à la rareté des sources et qu’elle offre ici un accès direct à cette expression unique. Elle adopte une perspective anthropo-littéraire pour appréhender le contenu propre de ce texte, son économie et le sens de l’opiniâtreté et de la sincérité qui le façonnent.
Texte établi, traduit et présenté par Nelly Blanchard
1944. En quelques mois, de férier à la fin août, la Bretagne bascule dans les combats de la Libération. Les personnages sont ballotés entre drames et espoir à un moment où la Wehrmacht, craignant le Débarquement, est aux abois. Ce troisième volume nous plonge dans la vie des mouvements de Résistance de la région de Saint-Servais, de Guingamp et Rennes.
Installez-vous au coin du feu et profitez d’une douce veillée en compagnie d’Angèle Jacq. Contes et légendes que sa grand-mère lui contait, souvenirs d’enfance, poèmes d’aujourd’hui, l’auteur nous emporte dans son monde de partage et de transmission. Illustré de nombreuses peintures de Lucien Pouëdras.
L’histoire méconnue d’une incroyable aventure humaine : la première traversée de l’Atlantique Nord en radeau.
Mauvais départ raconte la vie de Marie Coïc, la grande-mère de l’autrice.Née en 1921, Marie travaille dès l’âge de 13 ans dans les « fritures » au Guilvinec. Une vie de bigouden et de Penn-sardin. Quiberon, Croix de vie, Douarnenez, Saint-Jean de Luz, une vie. Un instantané de vie, un personne féminin et une mémoire troublée.
Médecin urgentiste, l'auteur a embarqué à bord de navires de recherche océanique. De contrées tropicales ou équatoriales jusqu'au grand sud, à proximité du continent antarctique, il a ramené un livre de souvenirs, de récits et de photos, tentant à résumer une expérience qui a duré huit ans.
Histoire émouvante et authentique d'un jeune Breton du pays fouesnantais dans les années 40-50.
21 chroniques de Ronan Leprohon parues entre 1973 et 2008 dans le mensuel "Le Peuple Breton" Ronan Leprohon est mort le 23 août 2017 à 78 ans. Avec lui s'est éteinte une figure de la vie politique bretonne, mais aussi -on l'oublie trop souvent- un historien.
Des fragments, impressions et sensations maritimes issues du vécu de l’auteur et de ses voyages. Ces fragments en prose forment finalement un journal de bord. Illustré par Charlotte Le Saux
De son premier concert en 1976, jusqu’à la mort du Boss, Erwan a écumé les stades, les salles de concerts et les festivals en France et jusqu’aux USA. Johnny Hallyday était pour lui son baromètre et sa musique son moyen d’évasion. Dans cet ouvrage, Erwan se livre sans concession mais avec pudeur et franchise. Ses mots sont cash, vrais, touchants, rieurs...
Bruno Geneste et Paul Sanda nous proposent, ici, une exceptionnelle promenade littéraire à travers le pays de l'Aven.
L'itinéraire singulier d'un p'tit gars d'Arras émerveillé par ses vacances en Bretagne et qui, à 12 ans, décide : "Quand j's'rai grand, j's'rai Breton".Tellement Breton qu'il s'engagera dans le FLB...
Voici un livre de témoignages qui restitue tout un pan de l'histoire de la région au début du XXe siècle à travers le regard de femmes nées dans les années 1900.
"Le livre d'Irène Frachon a tout du thriller médical. Mais tout y est vrai... " L'Obs.
Qu'est devenue Soizic Corne... Cette jolie rousse que j'ai vénérée durant mon enfance en regardant "les Visiteurs du mercredi" ? La réponse à cette question posée par Aymeric caron à Patrick Sabatier sur le plateau de l'émission "On n'est pas couché" vient de se fracasser sur l'écran de Soizic : Elle apprend sa mort en direct ! Ce soir-là, ça tombait mal.
Pierre Chapalain, ancien maire de Plounévez-Lochrist, fait le bilan d'une vie, et témoigne d'une époque de progrès et de luttes dont il résume l'inspiration dans sa devise "Stourm evit bevañ", "se battre pour exister".
Cet ouvrage évoque la petite commune de Spézet à travers de nombreuses cartes postales et de photographies inédites du 20ème siècle.
Théo David nous a enchantés par le récit de son enfance heureuse dans un petit village de l'Argoat. Comme des millions d'hommes de sa génération, il est jeté dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale.
Le parcours chaotique d'un enfant confronté aux violences d'une société étouffante et oppressive.
Un ouvrage sur la vie en Bretagne au XIXe siècle.Une oeuvre unique, saluée par la critique, qui se lit comme un roman. Edition établie et annotée par Bernez Rouz.
Fruit de huit années de recherches, regroupant un nombre considérable de témoignages inédits et de documents rares, mieux qu'un roman, voici l'histoire réelle des filières d'évasion d'aviateurs alliés en Bretagne.
À travers le regard de Lise, une fillette envoyée par sa mère dans une grande ferme pour y travailler, c'est toute une époque pas si lointaine et pourtant à des années-lumière de notre monde actuel, que l'on découvre.
En 1924, Louis Roubaud, journaliste au Quotidien, est chargé par sa rédaction, à la demande de l'administration pénitentiaire, de faire une enquête sur les colonies de jeunes garçons et filles afin de changer l'image déplorable que ces établissements ont dans l'opinion publique.
Mémoire d'une Bretonne dans l'enfer concentrationnaire Nazi C'est à l'occasion de sa rencontre en 1970 avec Roger Huguen qu'Henriette Le Belzic lui remet ce qu'elle nomme "ses Mémoires". Il s'agit d'un recueil de 29 pages dactylographiées, dans lesquelles elle relate sa période de captivité depuis son arrestation le 10 novembre 1941 jusqu'à sa libération...
Raymond Jean Jacq nous fait revivre, avec beaucoup d'humour et de tendresse, la vie difficile de ses parents, originaires de Landudal émigrés aux États-Unis dans les années 1930.
L’auteur raconte, en prose, ses entraînements de cross-country, ses courses de cadet à Pontivy ou Carhaix avant qu’il n’arrive, aux beaux jours, à l’athlétisme et aux cent, deux cents et quatre cents mètres.
Il faisait le même temps lorsque j'ai vu Armen pour la première fois. La mer était grise, comme toujours lorsqu'on navigue sur un bateau de guerre. J'ai cru reconnaître cet endroit. J'ai souhaité vivre dans ce phare. C'était la meilleure façon pour ne plus le voir. Quand j'ai posé le pied, la première fois, sur ce débarcadère-jouet, je me suis cru chez moi.
"Mon enfance ne fut pas malheureuse, mais elle se déroula hors l'accompagnement de tout animal, ce qui équivaut à une certaine forme non pas de maltraitance mais de frustration. Elle fut citadine, autrement dit sous surveillance... Tout au long de mon enfance, je pus entretenir toutefois, par intermittence, des contacts avec les animaux..."
Il y a mille raisons de partir. Xavier Fabre est un passionné de la mer. Au quotidien, il accompagne des patients touchés par la maladie d’Alzheimer. Poussé par sa volonté de communiquer sur ces personnes fragilisées, il relie à la rame les Canaries à la Martinique et met en évidence les parallèles de ces deux traversées solitaires : naviguer sur l’océan...
Non contents d’aimer leur ville telle qu’elle est, les Brestois sont étreints par un sentiment plus extravagant encore: ça commence à les démanger de la faire aimer, de reconnaître publiquement qu’elle est aimable. Ce ne sont pas des mots qui montent aux lèvres comme la stout tirée en trois fois, au Tara Inn, coule dans l’autre sens....
"Carhaix, c'est Plogoff !"L'histoire de la résistance contre la fermeture de l'hopital de Carhaix.